J’étais "salazariste" et c’est avec tristesse et incompréhension que depuis 3 ans je constate que l’équipe que j’avais contribué à élire cumulait couacs, hésitations, reculades, promesses non tenues, réformes reportées aux calendes grecques, déficit financier, mauvaise gestion du projet de transfert à Lyon, présentation d’un projet de bilan contestable, etc ...

Une équipe petitement élue (17 voix), des démissions immédiates d’équipiers surpris de leur élection, puis celle de la jeune et dynamique vice-présidente, le départ a été laborieux et la suite du même tonneau.

Une page, sûrement inédite, vient de se tourner non sans brutalité. Maintenant, au-delà du choix d’une tête de liste ("battestiste" ?, "francilien" ? ou autre ?), c’est celui de ses colistiers qui sera primordial car on ne peut gérer une telle fédé en étant un homme ou une femme seul (e) et sans s’entourer de personnes fiables et motivées.

Chacun présentera un programme plein d’idéaux et d’objectifs. Mais encore faudra-t-il mettre en place les structures et l’organisation nécessaire pour le mettre en oeuvre, ce que l’équipe sortante n’a pas su faire (cf le plan national de développement et la réforme des Interclubs).

D’ici septembre, la transition va paraitre longue à ceux qui en auront la charge.