Philippe

Plus de Pgns ?
Je suis sorti trop tard du boulot pour voir quoi que ce soit mais on m’a dit qu’il y avait eu des parties intéressantes : Pastorelli-Lamy, Iwanesko-Wehmeier (et oui Wehmsi excuse moi de toujours parler de toi, mais tu es toujours le dernier à te lever de table et j’arrive à voir quelques bribes d’analyse), Garrel fils-Artis fils ; mais j’aimerais bien vérifier avec les pgns !

Philippe

En fait, plongé que j’étais dans mon Zeitnot perpétuel (30 coups ou presque avec une minute), je ne me rendis pas compte du vide qui se faisait doucement mais sûrement autour de nous.
Lorsque je levai enfin les yeux (lunettes sur le nez !) et scrutait ce qu’il restait autour, 5 parties de Tournefeuillus étaient encore en cours.

Hervé Devos battait Ezra Kirk.
Pascal Garrel battait François Artis.
Nicolas Sanchez battait Tahiry Ratsiambahotra.
Mailys Pinault battait Bruno Garcia del Prado.
Et votre serviteur bataillait ferme pour en faire de même contre Alexandre Iwanesko.

Malheureusement pour moi (mais pas pour lui !) je ne pus (ou bien je ne sus, ou bien je ne voulus) pas imiter mes coéquipiers.
Je pense néanmoins que ma partie fut des plus spectaculaires.
Positionnellement supérieur largement je l’étais ; l’envie de gagner proprement était là également au rendez-vous ; mais mon adversaire m’assena un coup vache : il me vouvoya ! et là, d’un coup, je perdis ma jeunesse, mes illusions, mais surtout ma fameuse gnaque, le courage me fit défaut (cela dit, je dois bien être une des rares personnes à continuer à me croire supergagnant dans une position 2F+2P contre F+C+4pions), et je proposais nulle... à l’insu de mon plein gré !
Conclusion : cette année, l’Ibère n’est pas si rude que cela !
Mais il garde le Sancho !

Et je tenais à signaler, qu’aujourd’hui encore, pour la 3ème journée consécutive, je me maintiens à la table n°13 (le cochon est dans le maïs !), sous les sunlights !
Le halo de lumière, une aura très spéciale, du spectacle, du suspens (serai-je enfin le dernier à finir ma partie du jour ?), bref, tous les ingrédients pour en reprendre plein la gueule.

François, je peaufine donc mes chroniques sur mon blog perso.
Dès qu’opérationnel, je mettrai le lien ici.