Mon travail relatif au développement n’a rien d’extraordinaire car les résultats ne peuvent se juger que dans le temps. On ne fera donc le bilan du Tarn, où est programmée la création d’un club par an, que dans quelques années. Par ailleurs j’ai totalement échoué à Balma car un homme seul ne peut rien contre l’inertie, la mauvaise foi, l’incompétence et la pingrerie de ceux qui auraient le temps (retraités dorés) et les moyens matériels et financiers de s’investir.
D’une façon générale, il s’agit avant tout de motivation et d’organisation car créer un club d’Echecs n’a vraiment rien de bien sorcier en comparaison avec d’autres sports, le plus dur étant de trouver des bénévoles. Afin de compléter le développement enregistré ces dernières années, je pense qu’il faudrait que la ligue se fixe des objectifs bien ciblés au sein de zones dépourvues de clubs.