Bonsoir Françoise et merci pour ta réponse.

Le PAC a été refusé avec comme raison : les echecs étaient un SPORT intellectuel et qu’ils ne rentraient pas dans la dimention culturelle des projets PAC (projet artistique et culturel ).
C’est une école qui n’est pas en zone difficile.
"A part quelques jeux si les enseignants s’investissent dans le projet, il n’y a pas besoin de financement." Je ne suis pas aussi persuadé que toi. Un enseignant s’il n’est pas joueur d’échecs ne peut pas mener une activité dans une classe aussi facilement que ça, sans intervenant extérieur. Doit-on réserver les ateliers aux enseignants joueurs d’échecs ?

Et puis quelques jeux d’échecs, ce serait bien d’en avoir au moins un pour deux soit 14, ce qui n’est pas rien (et oui les classes sont surchargées).

Si j’en crois le discours fédéral nous vivons dans le meilleur des mondes. Or le PAC a été refusé pour cette école, on est pas une zone difficile et donc aucune aide pour lancer un atelier.
J’aimerai que cette situation soit notée pour le fameux plan de développement dont on nous rabat les oreilles. Que fait la fédération pour la base à part percevoir des frais pour les licences et des frais d’inscription pour un tournoi sponsorisé ? Nous avons là un cas concret.