Réponse un peu naïve ! Comment alors expliquer que certains clubs totalement dépourvus de formateurs et de moyens financiers, comme c’est le cas de ce pauvre TCMS, alignent des jeunes dans toutes les compétitions (9 des 10 joueurs mineurs du TCMS participent pour partie à la R2, au championnat du CDJE 31, à la coupe Loubatière et enfin au championnat par équipes de N4/N5). Mais les choses sont bien mises au clair avec leurs parents dès début septembre : il est tout simplement demandé à chacun de faire preuve de la même motivation et du même investissement que les familles mettent quand leurs gamins jouent au foot ou au rugby. Les jeunes ne pouvant être toujours disponibles, nous avons institué un "turn-over" et bien ciblé les objectifs (5 à 6 dimanches par an et par joueur), notre but premier étant de participer.
Réponse un peu naïve ! Comment alors expliquer que certains clubs totalement dépourvus de formateurs et de moyens financiers, comme c’est le cas de ce pauvre TCMS, alignent des jeunes dans toutes les compétitions (9 des 10 joueurs mineurs du TCMS participent pour partie à la R2, au championnat du CDJE 31, à la coupe Loubatière et enfin au championnat par équipes de N4/N5). Mais les choses sont bien mises au clair avec leurs parents dès début septembre : il est tout simplement demandé à chacun de faire preuve de la même motivation et du même investissement que les familles mettent quand leurs gamins jouent au foot ou au rugby. Les jeunes ne pouvant être toujours disponibles, nous avons institué un "turn-over" et bien ciblé les objectifs (5 à 6 dimanches par an et par joueur), notre but premier étant de participer.