Faut-il rappeler que les Nationales jeunes n’existaient pas dans notre région il y a encore quelques années.

C’est grace à l’effort d’un noyau de clubs et au dévouement de Louis Beaurain que nous avons pu les développer en commençant par la Nationale 3 jeunes, ce qui a d’ailleurs permis à Pau Henri IV et au CEIT à aller goûter à la Nationale 1 jeunes.

Notre groupe de Nationale 3 jeunes couvre Aquitaine et Midi-Pyrénées et se trouve certainement être le plus étendu de France.

Au vu de la longueur des déplacements, il me semble clair que cette compétition a pu naitre et ne se maintiendra que si nous conservons la cadence actuelle.

Mieux vaut une cadence dérogatoire que pas de joueurs ! Erick Mouret l’avait bien compris.

Une autre remarque à caractère philosophique : un règlement qui n’a pas pu être appliqué n’est peut-être pas adapté.